Aujourd'hui, nous allons parler de chocolat chaud, avec Choky. Un nom qui évoque les troquets d'autrefois... Je précise que non, ce n'est pas un post sponsorisé ! "Au café de l’aéroport de Beauvais, tout n’est que sachets que l’on déchire et que l’on mélange à de l’eau bouillante. Ça me rappelle le Choky, cet ersatz de chocolat au lait que préparaient les cafetiers. Moi, je me suis contenté d’un express. On me sert une espèce de jus noir dans un minuscule gobelet en carton. En vitrine, il y a des espèces de pâtes feuilletées en arc de cercle. D’ordinaire, Wei possède un goût immodéré pour les croissants. Mais là, ça ne lui fait vraiment pas envie. Tandis que l’on prépare nos commandes, j’explique à Li, qu’avant, le dimanche après-midi, il n’y avait rien du tout d’ouvert, surtout à la campagne. Mes parents aimaient justement passer des dimanches à la campagne. On allait visiter un château ou une église quelconque. Puis, faute de mieux, on finissait au troquet du village
Je recommande ce livre d'Emmanuel Lincot, aux PUF. Il traite des rapports entre la Chine et le monde arabo-musulman. En 752, 19 ans après Poitiers, les Arabes défaisaient les Chinois à Talas, dans l'actuel Kirghizistan. Le général Abu Muslim n'alla pas plus à l'est. Il se contenta d'islamiser l'Asie Centrale. Côté Chinois, cette défaite précipita la chute l'empereur Suzong et la dynastie Tang ne s'en remit pas. Ce fut le tout premier contact entre la Chine et l'islam. A l'ouest et au nord, la Chine faisait face à des contrées sauvages et peu peuplées. Dans les bons jours, l'empire eu une stratégie par cercles. Des paysans étaient envoyés dans les territoires en lisière de l'empire, afin de les siniser. Au-delà, des soldats tentaient de soumettre les populations nomades, à coups d'expéditions punitives et de faits accomplis. Enfin, bien au-delà des frontières, la Chine envoyait des diplomates et des commerçants auprès des roitelets ami
Dans la lutte contre le Covid, il y a un tabou : la Chine. En décembre 2019, à Wuhan, plusieurs médecins alertèrent sur l'apparition d'un coronavirus. L'état Chinois retrouva ses vieux réflexes des années 90, 2000 : embastillement des lanceurs d'alerte et diffusion de "vraies" informations, avec des chiffres ridiculement bas. Ainsi, Ai Fen, le premier médecin a le détecter, fut interrogée. Elle a depuis perdu un œil lors d'une opération bâclée de la cataracte. L'ophtalmologue Li Wenliang, qui avait diffusé le rapport de Ai Fen, fut arrêté. Il est mort à l'hôpital, du Covid, dans des conditions mystérieuses. L'avocat Chen Qiushi et le journaliste Fang Bin ont disparu des écrans de radar en février. Quant à la blogueuse Zhang Zhan, elle a été emprisonnée, malgré le soutien de l'UE. Car le coronavirus était d'emblée un gros problème pour l'état Chinois. Le plus évident, à l'extérieur, c'était un risque d'arrêt des échanges
Il y a quelques mois, je vous avais présentée la première exposition de Dan Latif , dans la mairie du XVIIe arrondissement. J'avais alors dit que la seconde exposition aurait lieu en extérieur. Chose promise, chose due ! Voici donc Regards Urbains transporté au square de Batignolles. Plus précisément, sur les grilles extérieurs du square. Car sous la tonnelle, il y a une autre expo, qui n'a rien à voir ! Et bien sûr, c'est gratuit. Mercredi, c'était le vernissage de cet expo, en présence du photographe. L'occasion de (re)voir ces photos. Et forcément, lorsque vous connaissez personnellement l'artiste, ça vous parle davantage. Plusieurs "modèles" étaient présents au vernissage. Ils sont venu avec la tenue ou les accessoires qu'ils avaient : la femme et sa corneille apprivoisée, le "Costaud des Batignolles" et sa chemise à fleurs, Amélie et ses cheveux (cheveux qui possèdent leur compte Instagram !) Dan Latif photographie des
Donald Trump a imposé des surtaxes sur divers produits Européens, dont le vin Français. Plus précisément, le vin en bouteille Français. D'où l'astuce de Le Roséy : le vin est conçu à Nîmes et expédié en tonneaux, vers la Floride, où il est embouteillé. Donc pas de surtaxe ! Take that Drompf ! Déjà, le nom "Le Roséy" peu faire froncer les sourcils. "Rosey" est la traduction phonétique de "rosé" et pour faire "Français", ils ont rajouté un accent aigu sur le "e". Après, il y a ce décor de plage... Les consommateurs US se plaignent des étiquettes françaises, avec leurs châteaux, leurs vieilles polices de caractère et plus généralement, leur côté désuet. Rappelons tout de même que Nîmes est à 50km de la cote. C'est dire à quel point l'embouteilleur est à cheval sur la géographie et le terroir... Enfin, le vin est vendu dans des canettes et des bouteilles qui se dévissent. Là encore, les Américains se plaignent des bo
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